L’Olivier
Lu par Marine
L’auteur narre le destin de quatre générations d’une lignée féminine vivant dans un pays imaginaire d’Amérique latine et qui en concentre les principaux maux historiques. Il ne s’agit pas d’une saga en tant que telle, Vera Candida, la troisième représentante de cette lignée étant le véritable sujet du roman.
L’écriture est habile et réussit à faire de ce roman une sorte de conte, sans éléments fantastiques cependant. Au contraire, tout ce qui y est décrit semble furieusement réel, comme un condensé mythique de la réalité à la fois de la souffrance et de la force du genre féminin, qui refuse la position de victime. La vie n’épargne pas ces femmes mais l’ensemble est enchanteur.
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