Lu par Bérénice
Alexis Jenni livre encore une fois un roman exigeant et travaillé, un héros ballotté à la fois face aux luttes sociales et livré en pâtures aux événements mystérieux qui se déroulent à Walenhammes sous la houlette des mystérieux Brabançons.
C’est pertinent c’est beau mais peut-être un peu trop, justement, trop long, trop écrit pour figurer dans le chapitre sur l’hypotypose des manuels de français.

Moins efficace que « l’Art français… » comme instrument d’autodéfense dans les transports publics.
D’autres critiques des romans d’Alexis Jenni par ici messieurs dames.
Votre commentaire