Lu par…Charlotte

Au poil !
Cette année, le jury a décidé de faire court, on va faire court : Un certain M. Piekelny est un roman brillant. Parti à la recherche de Piekelny, voisin du petit Roman Kacew et futur grand Romain Gary, François-Henri Désérable entremêle l’Histoire à la légende et le réél au fantasmé au point d’étourdir le lecteur qui, à défaut d’être un spécialiste de Gary, de Piekelny ou de Désérable, ne saura distinguer le vrai du faux.
Mis en scène par une écriture tout en finesse et humour, ce jeu espiègle imposé aux lecteurs par Désérable enthousiasme de bout en bout. A la fin, alors que l’on regrette d’atteindre les dernières pages, on réalise que le personnage principal de ce roman vif et truculent n’est autre que la littérature.
Lu aussi par…Lina

Chocolat à la liqueur
Un livre, « c’est comme une boite de chocolat on ne sait jamais sur quoi on va tomber… ».
Je suis une lectrice déçue… tout avait bien pourtant si bien commencé, on m’avait fait la promesse, non pas de l’aube, mais d’un très bon roman, bien écrit et fort drôle. Présent sur toutes les listes des prix littéraires, il ne pouvait que me plaire.
J’ai effectivement dévoré les premières pages me demandant où cette intrigue allait nous mener… et bien nulle part, à force de digressions et de jeux de mots de papa, j’avoue que ce livre m’est tombé des mains.
Je remercie néanmoins chaleureusement François-Henri Désérable car grâce à lui j’ai compris :
– que les jurés des prix littéraires (car il est partout) ne lisent que les premières pages des romans qu’ils choisissent,
– que seul Chevillard sait faire du Chevillard,
– que ça m’agace fortement de payer pour un livre que je ne finis pas.

Juré (à droite) courant après la littérature
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