Lu par… Alys

I’d rather not
Il y a des années à sexe, des années à rires et des années à morts. Cette année, on est bien dans une année morbide. Après celles et ceux qui se suicident, qui meurent d’un accident ou qui tuent, voici celui qui pleure son frère juste mort. Le narrateur revient longuement sur leurs moments de complicité pendant l’enfance, la distance qui les a séparés à l’âge adulte, etc. Le tout entrecoupé (quasiment une page sur deux) de passages du magnifique Bartleby de Melville. C’est d’ailleurs le seul intérêt qu’on y trouve.

Melville ? Mettez m’en une bonne moitié.
Je n ai pas lu le livre, donc pas d avis sur le fond de cette chronique. Sur la forme, c est « I d rather not » et non « I d rather not to » qui ne signifie rien en anglais. Et on écrit «qui les a séparés » avec un s, accord si le cod placé avant, comme on l a appris à l école primaire…
Nous corrigeons. Sur la forme, merci pour votre commentaire effectivement digne de l’école primaire.