(Absolument pas) lu par… Bérénice
Que les choses soient claires, je n’ai pas lu Orléans, pour la bonne raison que je refuse de donner un seul euro à Yann Moix et qu’aucun autre juré ne s’est fait offrir ladite chose par son libraire.
Toutefois, j’ai grandi à Orléans (chacun ses tares) et je ne laisserai à personne d’autre le privilège de détester cette ville.
« Orléans, ville du néant », comme on dit là-bas, mais si je veux, et quand je veux. Yann, reste à Paris.

Jeanne, patronne d’Orléans, pucelle mais virile.
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