Lu par Bérénice
Il y a beaucoup, pourtant, dans cette courte période de l’après-68 qui sert de repère à Riboulet pour évoquer le désespoir de la lutte inutile et le repli honteux et contraint devant les puissances gagnantes, capitalisme ou sida.
De très belles pages d’anarchie.

Sur les pavés, la moustache
Les poilus parlent aux poilus