Editions Albin Michel
Lu par L.
Chouette Amélie revient à ses premiers amours, elle écrit à nouveau sur le Japon, peut-être enfin un bon livre en perspective…
Et non, comme tous les ans c’est raté…
Elle nous raconte juste son voyage au Japon pour une émission de la télévision française qui souhaite faire un reportage sur son enfance… Elle appréhende ce retour au pays, qu’elle avait dû quitter à l’âge de 5 ans, une rupture qui a marqué toute son existence, le pays a-t-il changé ? Comment vont se passer les retrouvailles ?
Mais Amélie se fout bien de nous, en réalité, elle y est déjà retourné, c’est son second premier retour en terres promises. Elle avait déjà revu sa nounou, mais bon c’est vrai là, c’est peut être la première dernière fois qu’elle la voit, c’est vraiment triste ! Un petit tour à Fukushima même si ça n’a aucun rapport avec son enfance, des paysages de désolation, quelle surprise (mais c’est trop tard, Fukushima, c’est so 2012, Amélie).
Bref, via cette critique, Amélie si tu me lis, ou quelqu’un de chez Albin Michel, j’aimerais beaucoup qu’on me rembourse…
Morale de cette histoire : même avec un vibromasseur, lire du Amélie Nothomb c’est chiant…
Les poilus parlent aux poilus