Lu par… Alys

I’d rather not
Il y a des années à sexe, des années à rires et des années à morts. Cette année, on est bien dans une année morbide. Après celles et ceux qui se suicident, qui meurent d’un accident ou qui tuent, voici celui qui pleure son frère juste mort. Le narrateur revient longuement sur leurs moments de complicité pendant l’enfance, la distance qui les a séparés à l’âge adulte, etc. Le tout entrecoupé (quasiment une page sur deux) de passages du magnifique Bartleby de Melville. C’est d’ailleurs le seul intérêt qu’on y trouve.

Melville ? Mettez m’en une bonne moitié.
Les poilus parlent aux poilus